Te souviens-tu du jour où tu m’avais dit J’adore sucer une queue.
Tu disais : « C’est si vivant, si chaud. Ce sentiment de puissance qui m’envahit au moment où je gobe le gland de mon partenaire, tu ne peux pas savoir combien c’est fort. Il est totalement à ma merci. Surtout quand il commence à pousser des soupirs de plaisir, à avancer son bassin vers ma bouche pour que je l’absorbe au plus profond possible. Je prends un malin plaisir à lui tiller le méat, à lui suçoter le frein tout en lui caressant les couilles. Sentir cette tige chair qui se raidit de plus en plus, j’en pleurerais des fois, je te jure. Je ne suis pas fan qu’on me lèche en même temps je t’avoue. Même si c’est super excitant. Mais j’aime m’occuper de sa queue, le branler pendant que je le suce, ça ne fait que rajouter du plaisir au plaisir. Je mouille encore plus quand j’arrive à lui glisser un doigt entre les fesses. Tous les mecs n’apprécient pas mais moi j’adore. Pas facile d’oser pourtant. Mais quand je laisse traîner ma langue vers son petit trou et qu’il ne fait rien, sinon que de gémir encore plus, je sais qu’il n’aura rien contre à ce que je le doigte. C’est le moment où je glisse en douce une phalange dans ma chatte qui dégouline pour qu’elle passe sans problème. C’est chaud dedans, ça vibre, ça palpite. Je deviens folle. À partir de là, en général, tout s’accélère. Très souvent, le mec n’en peut plus et lorsque je sens que sa bite va exploser, je l’embouche, je l’aspire comme une damnée. Et quand il se répand dans ma gorge, même si je m’en étrangle parfois, pas question que je n’en perde une goutte ».
J’ignore bien sûr si tu te souviens de tout ça. Mais moi oui, je m’en souviens encore.