Te souviens-tu du jour où tu m’avais dit Carole aimerait bien qu’on se fasse un plan avec toi.
Vous connaissant, ta proposition ne m’avait pas surpris. Notre rencontre remontait à l’internet d’avant les réseaux sociaux. J’écrivais déjà des textes érotiques et vous aviez bien flashé sur mes histoires. Surtout celles où les filles jouaient les cascadettes, laissant fuser leur flots dorés jambes écartées. Vous habitiez loin de chez moi dans le Sud et je vous voyais parfois lors de mes déplacements professionnels. Petite, brune et bronzée, Carole avait des courbes à croquer. Elle adorait s’exhiber sans pudeur et pisser devant nous en riant devant l’objectif de nos Nikon. En arrivant chez vous ce soir-là, Carole était déjà en cuisine. Je nous prépare un vrai Ragù bolognese avait-elle annoncé alors que j’entrais avec toi dans la pièce. Il faisait chaud et elle ne portait qu’un tee-shirt sans manches avec un short en jean déchiré beaucoup trop large pour son petit cul pommelé. Comme dans un scénario bien rodé entre vous, elle m’a demandé de venir derrière elle pour surveiller la cuisson de sauce. Je t’ai interrogé du regard et tu m’as fais signe que oui, je pouvais y aller. Tout en félicitant Carole pour l’excellence de sa cuisine, j’ai passé ma main sur sa fesse par l’échancrure du short. Bien sûr, sa peau était nue. C’était la première fois que je la touchais. Le cœur battant, mes doigts se sont faufilés dans sa fente déjà trempée. D’un coup j’ai eu envie de la goûter et j’ai fait descendre son short aux chevilles. Elle continuait de parler comme si de rien n’était tout en dégoulinant sous ma langue avide. Dans un coin de la cuisine, tu caressais ta bite gonflée sous ton pantalon. Tu m’avais dit qu’elle adorait ça alors j’ai sorti la mienne et je me suis glissé au fond de son cul. J’ai joui en elle en lui mordant le cou.
J’ignore bien sûr si tu te rappelles de tout cela. Mais moi oui, je m’en souviens encore.
Une réponse sur « Remembrances#17 »
Un bien joli souvenir…