Te souviens-tu du jour où tu m’avais dit Oh oui, vas-y, suce-moi à fond et j’avais englouti ta queue tendue hors de ton slip fendu.
C’est sur cette photo de ta bite que j’avais flashée en premier. Tu l’avais placée sur le site libertin que je fréquentais alors. Plutôt pour rencontrer des couples ou des femmes. Je déclinais les invitations des mecs soi-disant hétéros. Tout comme moi, tu assumais ta totale bisexualité. Nous avions convenu d’un rendez-vous chez toi un soir en semaine et tu m’avais ouvert la porte avec un grand sourire. Petit, musclé, jean et tee-shirt, brun de poils et mat de peau : l’original valait bien les photos. Tu habitais un ancien atelier que tu avais réaménagé en loft. Le bâtiment c’était ton boulot au quotidien. Dans le cendrier de la table basse un joint nous attendait et tu es allé chercher des bières sans alcool au frigo. Echoes des Pink Floyd passait sur ta chaîne hi-fi. Tout en fumant, nous nous sommes un peu raconté nos vies et nos envies. Quand tu m’as demandé si je voulais bien que tu te changes, j’ai répondu certainement, oui. Ta chambre était à l’étage et tu en es descendu métamorphosé. Perruque brune et bas à résilles, bustier et porte-jarretelles. Et ce slip fendu en dentelles rouges d’où sortait cette bite épilée que j’ai voulu sucer d’emblée. Elle avait bon goût ta queue, un peu poivrée. Tu m’encourageais en râlant et je te malaxais les couilles en te gobant le gland. Puis tu as voulu me sucer à ton tour et mes fringues ont valsé sur le canapé. Un soixante-neuf plus tard, tu m’as supplié en t’écartant les fesses Prends moi ! J’étais bien au fond de ton cul, c’était chaud et vivant. Tu auras envie que l’on recommence m’as-tu demandé après que nous ayons joui presque ensemble. Bien sûr je t’ai répondu, c’était trop bon.
J’ignore bien sûr si tu te rappelles de tout cela. Mais moi oui, je m’en souviens encore.