Te souviens-tu du jour où tu m’avais dit Tu sais bien que j’adore, surtout ne te retiens pas.
Nous étions sous la douche et j’avais fini de te raser le sexe. Tes grandes lèvres, larges et charnues, étaient lisses à nouveau, comme à chacune de nos retrouvailles. En général nous tenions une semaine ensemble. Nous buvions beaucoup à cette époque et cela ne nous allait pas bien finalement. Nos discussions toujours passionnées finissaient toujours par des disputes stupides et des claquements de porte soi-disant définitifs. Un mois plus tard, je te rappelais. Ou bien c’était toi qui le faisais et le grand cycle reprenait. D’emblée tu avais compris mon goût pour les jeux humides. Ce qui tombait plutôt bien, tu adorais pisser. À la sortie d’un bar entre deux voitures. Sous la douche avec moi. Sur mon ventre quand je bronzais au jardin. Un jour, tu m’avais fait allonger sur le carrelage de la cuisine et sans même ôter ta culotte, tu avais lâché quelques gouttes dans ma bouche grande ouverte. Évidemment, durant le temps de nos séparations, tu négligeais ton buisson. La première nuit du nouveau cycle commençait donc toujours par le rasage rituel de ta toison brune et fournie. Ce jour-là, tu t’étais couchée sur la mosaïque de ta douche à l’italienne, les jambes repliées sur ta poitrine pour me faciliter la tâche. En guise de bienvenue, tu avais fait surgir un petit jet transparent d’entre tes lèvres. C’est une fois ton pubis et ta fente redevenus glabres que tu m’avais invité à t’arroser pour éliminer les traces de mousse à raser. Je m’appliquais à les faire toutes disparaître et j’ai terminé en visant ton clito dressé que tu exhibais en toute impudeur. C’est chaud ! C’est bon ! Encore. Et tu riais, tu riais…
J’ignore bien sûr si tu te rappelles de tout cela. Mais moi oui, je m’en souviens encore.