Te souviens-tu du jour où tu m’avais dit C’est trop fort, je crois que je vais exploser.
Nous étions nus, allongés tête bêche au bord de la piscine. Tu me pompais la queue avec passion. Je te léchais le sexe avec avidité. Tu étais arrivée la veille dans cette maison de campagne qu’une amie m’avait laissée pour le week-end. Avant que tu ne partes me rejoindre, je t’avais demandé de boire beaucoup et d’emporter une bouteille d’eau pour le voyage. Et de surtout ne pas t’arrêter au bord de la route. Tu te soumettais volontiers à ces petits jeux coquins. Avec plaisir et volupté. Je t’attendais sur la terrasse. C’était une belle nuit d’été, illuminée par la pleine lune. Avant même de m’embrasser, tu as relevé ta jupe et tu as pissé debout devant moi. Lorsque je me suis agenouillé pour recueillir les dernières gouttes, tu m’as caressé les cheveux tendrement. Nous avions passé une nuit très agréable de sexe doux. Le lendemain, après une belle balade dans la campagne, nous avons plongé dans l’eau claire de la piscine. En ressortant, nous nous sommes couchés sur le gazon, toi sur moi, pour un soixante-neuf effréné. Ton doigt était fiché dans mon anus et tout en te dévorant le bouton, j’avais glissé deux doigts dans ton vagin. Je massais la petite protubérance qui je le savais d’expérience pouvait te faire partir en fontaine. D’abord doucement, puis de plus en plus vite. Tu avais cessé de me sucer et tu ronronnais de plaisir, guettant la vague qui allait t’emporter. Quand elle a jailli, ce fut une inondation. Je suffoquais sous tes flots impétueux. Après, tu m’as juste dit avec toi, c’est si bon de pouvoir me laisser aller d’une petite voix encore tout émue.
J’ignore bien sûr si tu te rappelles de tout cela. Mais moi oui, je m’en souviens encore.