Te souviens-tu du jour où tu m’avais dit Vous savez que vous pouvez m’enculer, j’adore la sodomie.
Nous venions de faire l’amour pour la première fois mais le vouvoiement était toujours de rigueur. Ce n’est qu’une fois après avoir joui dans ton cul que le tu s’est vraiment imposé. Tu te tenais alors à quatre pattes devant le feu de cheminée, tes fesses tournées vers moi et ta fente ouverte luisait de nos jus. Un peu essoufflés par la brutalité de l’assaut précédent, tu m’as proposé un vieux cognac, un cinquante ans d’âge, comme nous, que nous avons siroté avec volupté. Tu me disais tout le plaisir que tu avais éprouvé à sentir ma langue te fouiller sans retenue. Vous êtes un vrai gourmand, c’est si rare chez les hommes. Je sens que nous allons pouvoir faire plein de cochonneries tous les deux. Je t’ai retourné le compliment. Me faire sucer par vous fut un délice rare. Vous êtes une fellatrice d’exception. Les yeux brillants, tu as lancé un petit rire cristallin. Avez-vous déjà fait l’amour à plusieurs ? m’as-tu demandé. Sur ma réponse affirmative, tu m’as répondu d’un air rêveuse Voilà de bien jolies perspectives. Et puis tu t’es remise à quatre pattes sur le tapis du salon dans une position d’offrande sans équivoque. Venez en moi je vous en prie. J’en ai trop envie. Je t’ai longuement mangé l’entre-fesse, tu gémissais de bonheur. Et lorsque j’ai placé mon gland à l’orée de ton œillet, tu as hurlé Putain vas-y ! Encule-moi mon chéri ! La veuve élevée à Neuilly avait d’un coup disparu, laissant place à la femme bouillonnante de désirs.
J’ignore bien sûr si tu te rappelles de tout ça. Mais moi oui, je m’en souviens encore.
2 réponses sur « Remembrances#02 »
Non, mais cette fin ! À mourir de rire. Le sexe et le rire, une excellente combinaison que tu sais manier avec un doigté…
excellent cher jules
jeanneronde60