Te souviens-tu du jour où tu m’as dit Attention, je crois que je vais t’arroser.
Nous étions en pleine séparation mais nous baisions encore. Souvent même furieusement. Des années de vie commune avaient eu raison de la passion des débuts. Mais pas question pour autant de se déchirer. Ce soir-là, j’étais passé te voir dans ton nouvel appartement, tu voulais me montrer un tapis offert par ton amant du moment. Seuls au salon en buvant un ouzo, nous bavardions de choses tendres et légères quand je t’ai demandé à brûle-pourpoint si tu n’avais jamais eu la fantaisie de me pisser dessus en faisant l’amour. Ton visage s’était d’un coup illuminé et tu avais dit Oh oui, souvent. Si tu savais ! J’avais envie de toi, de sentir ta peau contre la mienne encore une fois. J’ai fait semblant d’hésiter à te caresser la joue et tu t’es assise sur la table, jambes ballantes, cuisses écartées. Tu as ouvert ta robe et tu as déboutonné mon jean. Les tétons de tes petits seins en poire pointaient. Je t’ai ôté ta culotte, et je me suis jeté sur ta chatte la bouche grande ouverte. Tu avais ce goût de pomme verte que j’ai toujours aimé. Tu gémissais tandis que je me régalais de tes sucs. Tu as joui une première fois en râlant puis tu m’as pris par la main Viens, allonge-toi sur le tapis. J’ai descendu mon pantalon et je t’ai obéi. À califourchon sur mes cuisses, tu me branlais tendrement et c’est là où tu m’as annoncé que tu ne pouvais plus te retenir. Tu as poussé un petit cri de surprise et de joie lorsque le premier jet est venu m’inonder la verge. C’était chaud, électrique. Tu coulais sur mes couilles et j’étais au paradis. Avant de terminer ta miction, tu as placé ma verge raidie dans ta fente et tu as commencé à onduler du bassin. J’ai joui en un éclair.
J’ignore bien sûr si tu te rappelles de tout cela. Mais moi oui, je m’en souviens encore.